Le test de l’hétérogénéité n’a pas été significatif (Qt = 13.57, p = 0.258) signifiant que la variance de la TE a été meilleur que celle attendue par l’erreur d’échantillons. Computerized training of working memory in children with ADHD: a randomized controlled trial. We propose that operant conditioning of electroencephalogram (EEG) in neurofeedback training aimed to mitigate inattention and low arousal in ADHD, will be accompanied by changes in EEG bands' relative power. Suivez-nous sur votre réseau social préféré . Plusieurs variations de ce protocole d’entraînement ont été développées et testées au long des années, comme l’amélioration du bêta et l’inhibition du thêta, l’amélioration du RSM et l’inhibition du bêta, etc. Publication dans des périodiques non répertoriés. De plus, une recherche a été faite sur PubMed en utilisant les mots clés suivants : “neurofeedback” ou “Biofeedback EEG” ou “neurothérapie” ou “SCP” ou ” Potentiels Corticaux Lents” et “TDAH” ou “TDA” ou “Trouble du Déficit de l’Attention avec Hyperactivité” ou “Trouble du Déficit de l’Attention.” De plus, plusieurs auteurs ayant présenté des études sur le TDAH lors de conférences (ISNR et Society for Applied Neuroscience (SAN)) au cours des 2 dernières années ont été contactés pour obtenir de potentielles études en cours de publication. Le test de l’hétérogénéité a été significatif (Qt = 43.47, p = 0.0000 ; TE moyenne : 0.9903) signifiant que la variance entre la TE a été plus grande qu’attendue par les erreurs d’échantillons. Cette figure montre la moyenne générale le la TE pour les études contrôlées comparée à la TE chez les sujets dans toutes les études pour les 3 symptômes. Ces niveaux ont été définis comme suit : Niveau 1 : non validé empiriquement. Malheureusement, il n’y a pour l’instant que peu de personnes formées au TDAH qui pratiquent le neurofeedback. Ceci peut compromettre les résultats, même si ce choix peut potentiellement maximiser les effets espérés dans les deux groupes. Quand l’hétérogénéité totale d’un échantillon (Qt) était significative, indiquant que la variation des tailles d’effets est plus importante qu’attendue par les erreurs d’échantillonnage — les études ont été écartées de la méta-analyse une par une, et l’étude contribuant le plus à la pertinence de la valeur du Qt a été exclue des analyses suivantes pour cette variable jusqu’à ce que la valeur du Qt ne soit plus significative. Jusqu’à aujourd’hui aucune étude de méta-analyse quantitative n’a été faite sur ce sujet. En 2004, Heinrich et al.7 ont été les premiers à rapporter des résultats positifs de neurofeedback Potentiel Corticaux Lents (SCP) dans le traitement du Trouble du Déficit de l’Attention avec Hyperactivité (TDAH). (Pour un aperçu des interrelations RSM-SCP, consulter Kleinnijenhuis et al.9). Address request for reprints to Dr. Martijn Ams, Brainclinics Diagnostics, Bijleveldsingel 34, 6524 AD Nijmegen, The Netherlands. Et il semblerait que cette technique n’offre que des avantages : Selon la nature, la gravité et le nombre de symptômes à traiter, le nombre de séances peut aller de dix à 20 séances. Depuis maintenant 2012 en effet, l’Académie américaine de Pédiatrie reconnaît cette thérapie comme efficace contre le TDAH et la place même au niveau 1 des traitements du trouble déficitaire de l’attention. De plus, il a été suggéré que le temps passé avec un thérapeute pouvait expliquer les effets du traitement. Le test de l’hétérogénéité n’as pas été significatif (Qt = 3.31, p = 0.51). Les résultats ont été étonnants : selon les parents des enfants hyperactifs sur lesquels on a fait le test, il en est ressorti que les améliorations étaient beaucoup plus importantes chez ceux traités avec le neurofeedback que ceux suivis avec la TCC. Bien qu’il n’ait pas été possible de séparer les effets à l’intérieur des études, ces résultats ont tendance à suggérer que les effets du neurofeedback sont similaires pour les patients prenant des médicaments et pour ceux n’en prenant pas. Modifier la manière de pensée et les croyances motivant le comportement d’une personne et ce, en le rendant plus sensible à la suggestion. Cette classification est considérée comme appropriée pour les traitements qui ont été recherchés dans au moins une étude ayant un impact statistique suffisant, des mesures de résultats bien identifiées, mais pour lesquels il manque une condition d’affectation randomisée à un contrôle inclus dans l’étude. Elles ont été significatives pour chacun des principaux symptômes : inattention, impulsivité et hyperactivité. Somatomotor and visceromotor correlates of opreantly conditioned 12-14 c.sec sensorimotor cortical activity. Des praticiens utilisent actuellement cette thérapie dans l’exercice de leurs fonctions. Par conséquent, selon les directives pour l’évaluation de l’efficacité clinique, nous concluons que le traitement par neurofeedback pour le TDAH peut être considéré “Efficace et Précis” (niveau 5) avec une TE importante pour l’inattention et l’impulsivité et une TE modérée pour l’hyperactivité. La randomisation est donc belle et bien nécessaire pour conduire des études fiables, mais, Les études les plus importantes à ce jour sont celles de Monastra, Beaucoup d’auteurs ont suggéré par le passé qu’une possible explication des, Aucune des études comparant le neurofeedback avec des médicaments stimulants n’a utilisé d’attribution randomisée. U. Strehl et A. Coenen n’ont pas de conflits d’intérêts par rapport à cet article. Par conséquent, la question se pose quant à la fiabilité des preuves de la thérapie neurofeedback dans le traitement du TDAH et son importance dans le traitement du TDAH. Monastra VJ, Lynn S, Linden M, Lubar JF, Gruzelier J, LaVaque TJ. Clinical database development:characterization of EEG phenotypes. Niveau 3 : probablement efficace. La plus connue est la Ri - taline. De plus, les compétences d’autorégulation de l’EEG se sont révélées être conservées, indiquant que les enfants ont conservé la capacité de bien réguler leur activité cérébrale. Beaucoup d’auteurs ont suggéré par le passé qu’une possible explication des effets du neurofeedback pouvait être les résultats de l’”entraînement cognitif” car les sujets participent à un exercice de feedback pendant généralement 30-50 sessions. Il y a eu une corrélation significative entre le nombre moyen de sessions dans les études et l’amélioration de l’inattention (p = 0.04 ; r = .550), mais pas pour l’impulsivité et l’hyperactivité, signifiant que de meilleurs effets sur l’inattention sont atteints avec plus de sessions, voir également Figure 4. Chaque séance dure normalement 40 à 60 minutes environ. La plupart des études ont inclus une minorité de sujets prenant des médicaments. Innovative techniques in the treatment of ADHD: an analysis of the impact of EEG Biofeedback training and a cognitive computer generated training. Étant donné que l’attente est que les études randomisées présentent une TE plus faible, nous avons considéré une valeur-p inférieure à 0,1 significative (portée unilatérale) par l’utilisation d’un critère stricte pour cette dimension ; (4) Médicaments : études réalisées sur des sujets prenant un traitement vs. études réalisées sur des sujets ne prenant pas de médicaments. Trois études randomisées ont utilisé un groupe de contrôle semi-actif pouvant être considéré comme un subterfuge crédible fournissant le même niveau d’entraînement cognitif et de relation patient-thérapeute. Is neurofeedback an efficacious treatment for ADHD? Moriyama T : Informations fondées sur des preuves concernant l'utilisation clinique du neurofeedback pour le TDAH. Niveau 2 : possiblement efficace. Cela n’a pas été le cas octroie plus de poids au fait que ces approches modifient l’activité dans le même système neurophysiologique sous-jacent. Cette étude a examiné les effets de la thérapie Neurofeedback sur les principaux symptômes de TDAH en utilisant une approche méta-analytique. Le test de l’hétérogénéité n’a pas été significatif (Qt = 16.15, p = 0.135) signifiant que la variance de la TE n’a pas été meilleure que celle attendue par l’erreur d’échantillons. À remarquer, la TE pour les études contrôlées est légèrement plus petite, ce qui peut être expliqué par le fait que beaucoup d’études contrôlées ont des groupes de contrôle “semi-actifs”. Dans la méta-analyse, les Tailles d’Effets (TE) sont calculées sur la base des moyennes de pré-traitement et de post-traitement et de la déviation standard extraite des études incluses dans la méta-analyse. Estimating effect sizes from pretest-posttest-control group designs. Ses bénéfices dans le traitement du TDA chez l’enfant ont été découverts relativement par hasard, et la Ritaline est devenue depuis un médicament de référence pour traiter ce trouble. Reconnaissance du Déficit de l’Attention/Hyperactivité. De plus, cette étude a sélectionné des sujets basés sur leur ratio élevé de thêta/bêta et par conséquent peut ne pas être représentatif pour le TDAH. La TE est vue comme une mesure de “pertinence clinique” dans la mesure où plus la TE est importante, plus la pertinence clinique est élevée. Cette étude a associé un plan de soins cliniques global avec le neurofeedback, ce qui peut expliquer en partie ces résultats. EEG and behavioural changes in a hyperkineticchild concurrent with training of the sensorimotor rhythm (SMR): a preliminary report. La moyenne de la TE pour l’impulsivité a été de 0.6862 (95% CI 0.34-1.03 ; Total N = 241). Plusieurs spécialistes intervenant dans la prise en charge du TDAH le recommandent vivement, tant les résultats sur le long terme sont impressionnants ! Une TE est une statistique sans échelle, permettant ainsi une comparaison des résultats avec plusieurs instruments. La figure 1 montre les résultats de la méta-analyse pour les études avec un groupe de contrôle passif (neurofeedback vs. groupe de contrôle) et un groupe de contrôle actif (neurofeedback vs. groupe de médicament stimulant). Sunderland MA: Sinauer Associates; 2000. Shouse MN, Lubar JF. Les médicaments ne sont recommandés qu'en cas d’insuffisance ou d’échec de la psychothérapie, des mesures éducatives et sociales chez l’enfant de plus de 6 ans. Intervention de niveau 5 pour les TDAH Le Neurofeedback est maintenant classé une intervention de niveau 5, soit le plus haut niveau d’efficacité selon le guide de référence « Evidence-based practice in Neurofeedback and Biofeedback 2016 ». Evaluation of the effectiveness of EEG neurofeedback training for ADHD in a clinical setting as measured by changes in T.O.V.A. Le neurofeedback est l'une des rares techniques non médicamenteuses ayant fait preuve de son efficacité par des études scientifiques. Le test de l’hétérogénéité a été significatif (Qt = 24.93, p = 0.015 ; TE moyenne : 0.7487). Holtmann M, Grasmann D, Cionek-Szpak E, Hager V, Panzer N, Beyer A, et al. Ce sont exactement ces 3 études qui ont utilisé un groupe de contrôle semi-actif dans une conception randomisée. L’étude de Monastra et al.33 (ES = 1.45)) a montré être celle qui a contribué de manière la plus significative au Qt. Dans cette étude, deux TE ont été calculées. Pour pouvoir être considéré “efficace,” un traitement doit respecter les critères suivants : (a) comparé à un groupe de contrôle sans traitement, un groupe de traitement alternative, ou un contrôle placebo utilisant une attribution randomisée, le traitement évalué s’est montré statistiquement supérieur, de manière significative, au contrôle, ou le traitement évalué est équivalent à un traitement à l’efficacité précédemment prouvée dans une étude suffisamment précise pour détecter les différences modérées ; (b) les études ont été réalisées sur une population traitée pour un problème spécifique, pour qui les critères d’acceptabilité ont été définis de manière précise, pertinente et applicable ; (c) l’étude a utilisé des mesures valides et clairement identifiées par rapport au problème traité ; (d) les données ont fait l’objet d’une analyse de données pertinente ; (e) les variables et les procédures du traitement sont clairement définies de manière à permettre sa répétition par des chercheurs indépendants, et (f) la supériorité ou l’équivalence du traitement évalué a été démontrée dans deux études indépendantes minimum. Appl Neuropsychol 2005; 12(2): 64-76. De plus, avec l’intervalle de 95% de confiance de la TE pour l’inattention, l’hyperactivité et l’impulsivité est significative pour les deux comparaisons. Les TE ont été soumises à une ANOVA unidirectionnelle pour analyser les variables suivantes : (1) Le protocole neurofeedback : RSM/Bêta/Thêta vs. Bêta/Thêta vs. protocoles SCP ainsi que protocoles SCP vs. tous les protocoles Bêta/Thêta ; (2) la date : les études antérieures à 2006 et les études postérieures à 2006 ont été comparées pour vérifier les différences de TE dans les études plus récentes ; (3) études utilisant la randomisation vs. études non-randomisées. Ce graphique montre les “forest plots” pour les études contrôlées avec les Tailles d’Effets (TE) et leur intervale de 95% de confiance pour les études contrôlées, et les nombres correspondent aux études du Tableau 1. Il semble peu probable qu’il existe autant d’études avec des résultats nuls qui n’ont pas été publiées. Cette méthode est également utilisée par beaucoup de professionnels, mais la question de la fiabilité des preuves de ce traitement … Le nombre “fail-safe” est le nombre d’études indiquant combien de résultats nuls non publiés sont nécessaires pour qu’un effet soit considéré non significatif. Les trois tests randomisés contrôlés de Bakhshayesh. Presented at the American Psychological Association, Los Angeles, CA, 1994. Klingberg T, Fernell E, Elesen P, Johnson M, Gustafsson P, Dahlstrom K, et al. La TE moyenne de l’inattention était 0.8097 (intervalle de confiance 95% (CI) 0.39-1.23 ; Total N = 201). À remarquer, la TE pour les études contrôlées est légèrement plus basse, ce qui peut être expliqué par le fait que beaucoup d’études contrôlées ont utilisé des groupes de contrôle “semi-actifs” tels que l’entraînement de l’attention10,17, le Biofeedback EMG29 ou la thérapie de groupe18. Ce traitement était, à l’origine, conçu pour traiter les accès de sommeil incontrôlables induits par la narcolepsie. J Neurotherapy 2001; 4(4): 11-18. Kindheit und Entwicklung 2009; 18: 95-104. LaVaque TJ, Hammond DC, Trudeau D, Monastra VJ, Perry J, Lehrer P. Template for developing guidelines for the evaluation of the clinical efficacy of psychophysiological interventions. Par conséquent, dans la méta-analyse, les protocoles de neurofeedback SCP et thêta-bêta sont examinés dans la même analyse. Appl Psychophysiol Biofeedback 2003; 28: 1-12. La TE moyenne des études randomisées est restée modérée (ES = 0.54). (N = 94) et Kaiser and Othmer (étude originale N = 1089 ; données disponibles dans cette méta-analyse N = 530 ; Kaiser, communication privée). Diagnostics and Statistical Manual of Mental Disorders. Elle a inclus une randomisation, un large échantillon et une approche multi-centre. Dans beaucoup de cas nous avons demandé les moyens et les SD pour la commission d’erreurs et/ou les échelles d’évaluation des données qui dans certains cas ne se sont pas révélées pertinentes pour cette étude. Ceci dit, son niveau d’efficacité n’est peut-être pas aussi important qu’on le souhaiterait. (4th ed.) Depuis les premiers rapports sur le traitement par neurofeedback pour le Trouble du Déficit de l’Attention avec Hyperactivité (TDAH) en 1976, beaucoup d’études ont analysé les effets du neurofeedback sur les différents symptômes du TDAH comme l’inattention, l’impulsivité et l’hyperactivité. Les mesures pré et post évaluation suivantes ont été collectées des études incluses : (1) Hyperactivity : assessed with a DSM rating scale such as Conners (CPRS-R) ; ADDES-Home, BASC, SNAP, FBB-HKS (parents) or DSM-IV Rating Scale (Lauth and Schlottke) ; (2) inattention : assessed with an inattention rating scale such as FBB­HKS, Conners (CPRS-R, BASC, ADDES-Home, SNAP/lowa-Conners) or DSM-IV Rating Scale (Lauth and Schlottke) ; (3) impulsivity : commission errors on a CPT such as a TOVA, IVA (auditory prudence measure) or Go-NoGo test. Aucune différence significative n’a été démontrée entre les études réalisée chez les sujets prenant des médicaments vs. ceux n’en prenant pas. Clin EEG Neurosci 2005; 36(2):99-107. Int J Bioelectromagn 2008; 10(4):209-232. Effect of neurofeedback training on the neural substrates of selective attention in children with attentiondeficit/hyperactivity disorder: a functional magnetic resonance imaging study. ). Statistical Software for Meta-Analysis. La moyenne de la TE pour l’impulsivité a été de -0.0393 (95% CI -0.45-0.37 ; Total N = 240). Dans la Figure 1 il est clairement visible que les études de Bakhshayesh29, Gevensleben et al.10 et Holtmann et al.17 Ont les TE les plus basses pour l’hyperactivité. Monastra VJ, Monastra DM, George S. The effects of stimulant therapy, EEG biofeedback, and parenting style on the primary symptoms of attention-deficit/hyperactivity disorder. Les études les plus importantes à ce jour sont celles de Monastra33 (N = 100), Gevensleben et al. Des études randomisées ont montré une TE plus faible sur l’hyperactivité suggérant que l’hyperactivité est probablement plus sensible aux facteurs de traitement non-spécifiques. Par exemple la sélection des études et des variables pertinentes est directement liée à la qualité des résultats de la méta-analyse. Impact of experimental design on effect size: findings from the research literature on training. Une fois ces conclusions, basées sur la même littérature, données, une approche plus quantitative pourrait être justifiée pour définir un niveau de preuve du traitement par Neurofeedback pour le TDAH incluant également d’autres études qui répondent aux questions soulevées. J Huazhong Univ Science Tech 2005; 25(3): 368-370. Leins U, Goth G, Hinterberger T, Klinger C, Rumpf N, Strehl U. Neurofeedback for children with ADHD: a comparison of SCP and theta/beta protocols. Le nombre “fail-safe” des études a été de 52.1, signifiant qu’au moins 52 résultats nuls non publiés sont nécessaires pour rendre l’effet du. Marco CONGEDOa, Alexandre BOUCHETb a) GIPSA-lab1, Grenoble University and CNRS, Grenoble, France. Les chercheurs ont conclu que le neurofeedback pourrait être utile pour les enfants atteints de TDAH. Clinical utility of EEG in attention deficit hyperactivity disorder. Beaucoup de ces études contrôlées ont utilisé des groupes de contrôles semi-actifs tels qu’entraînement cognitif10,17, Biofeedback EMG29 ou thérapie de groupe18. Le neurofeedback est un traitement pour les enfants et adultes atteins de TDAH. De telles préoccupations pourraient être résolues par des études contrôlées à double aveugle. La TE des études est généralement présentée sous forme de graphique “forest plot” apportant une vue d’ensemble des résultats. Neurofeedback, Hyperactivité. Comme des études ont utilisé un groupe de contrôle actif (médicament stimulant) ou un groupe de contrôle semi-actif (, Les TE ont été calculées avec la formule Hedges’ D en utilisant de pré-test SD. Les groupes de contrôle semi-actif dans ces études peuvent être considérés comme des contrôles de placebo pertinents, fournissant un niveau équivalent d’entraînement cognitif et d’interaction client-thérapeute. Lubar JF, Shouse MN. Le fait que la TE de l’hyperactivité a été significativement plus basse – tout en restant une TE modérée — pour les études randomisées suggère que l’hyperactivité est probablement plus sensible aux facteurs de traitement non spécifiques. Patients were 18 children diagnosed with ADHD. Les traitements m dicamenteux LÕapproche m dicamenteuse est de plus en plus souvent pr conis e. Il sÕagit de mol cules qui agissent sur les neuro - transmetteurs. Strehl U, Leins U, Goth G, Klinger C, Hinterberger T, Birbaumer N. Selfregulation of slow cortical potentials: a new treatment for children with attention-deficit/hyperactivity disorder. Une TE positive démontre une diminution des symptômes pour cette mesure. Howe RC, Sterman MB. Toutes les TE sont montrées avec leur intervalle de 95% de confiance et les nombres correspondent aux études dans le Tableau 1. Ceci peut probablement être expliqué par le fait que cette étude a été une étude naturaliste et a été la moins contrôlée d’un point de vue méthodologique incluse dans la méta-analyse. Finalement, le coefficient de corrélation de Pearson a été défini entre le nombre moyen de séances et les TE. Le neurofeedback pour le TDAH sur Sky News TV (Médical Et Professionnel Video 2020). Kropotov JD, Grin-Yatsenko VA, Pomarev VA, Chutko LS, Yakovenko EA, Nikishena IS. Pour l’analyse entre sujets, les moyens pré/post traitement et les SD ont été utilisés pour calculer les TE. Le traitement par Neurofeedback(rétroaction biologique par électroencéphalogramme EEG), mesure les ondes cérébrales sur le cuir chevelu du patient et récompense les fréquences associées avec l'attention décontractée, et supprime les fréquences associées à un excès ou un déficit d'activité. Operant conditioning of EEG rhythms and Ritalin in the treatment of hyperkinesis. Le concept du neurofeedback est né dans les années 40, après que des chercheurs ont découvert, grâce aux enregistrements réalisés par électroencéphalographie (EEG), qu’il était possible de modifier son activité cérébrale.Beaucoup d’études ont depuis été publiées, principalement aux États-Unis et en Allemagne, pour évaluer cette technique dans des situations concrètes. Traitement du TDAH. The effectiveness of neurofeedback and stimulant drugs in treating AD/HD: Part II.Replication. Johnstone J, Gunkelman J, Lunt J. Le test de l’hétérogénéité n’a pas été significatif (Qt = 16.26, p = 0.093) signifiant que la variance de la TE n’a pas été meilleur que celle attendue par l’erreur d’échantillons. Mais pour aider les patients en bas âge à mieux cibler les corrections qu’il doit effectuer, il est aujourd’hui possible de représenter ces « anomalies » à partir d’images ludiques et faciles à comprendre. Elles ont montré des TE importantes. Le nombre “fail-safe” pour les études chez les sujets était de 320 pour l’hyperactivité et de plus de 500 pour l’inattention et l’impulsivité. De plus, Drechsler et al.18 ont utilisé un groupe de contrôle suivant une thérapie de groupe et Bakhshayesh29 a utilisé un groupe Biofeedback EMG comme groupe de contrôle. Ces études ont été analysées séparément. Les effets à long terme n’ont pas pu être abordés dans cette méta-analyse. Les approches de traitements qui ont été évaluées et qui ont démontré produire des effets bénéfiques dans de multiples études d’observation, des études cliniques, des études de contrôle, et des répétitions d’études au sein de sujets et entre sujets méritent cette classification. Deux études contrôlées de placebo à double insu par deBeus24 et Picard25 et une étude contrôlée par Fine, Goldman and Sandford26 ont été exclues car elles n’étaient pas publiées et aucuns moyens ni SD n’étaient disponibles. Ceci est probablement lié au fait que les sujets de cette étude ont reçus, en plus du neurofeedback et de la Ritaline, un programme de soins cliniques compréhensif, provoquant une TE plus élevée comparée aux autres études. Dans … Le président de la clinique Neuroperforma de Brossard parle de cette nouvelle thérapie dans des termes très positifs : « L’efficacité du neurofeedback est basée sur des évidences scientifiques qui proviennent d’essais cliniques faits par plusieurs groupes dans différents pays », a-t-il expliqué, avant de poursuivre « Aux Etats-Unis, il y a de plus en plus de médecins et neurologues qui ouvrent des cliniques de neurofeedback », pour conclure en beauté : « Selon les essais cliniques effectués 2 ans et 6 ans après les traitements, les résultats sont permanents ». Six études ont utilisé une distribution randomisée des sujets et 3 études ont comparé le neurofeedback avec des médicaments stimulant (le “gold standard” actuel dans le traitement de TDAH). Curieusement, selon le psychologue Joe Kamiya, qui a fait des recherches sur le sujet en 1958, nous sommes naturellement capable d’identifier nos dysfonctionnements cérébraux, en particulier si ceux-ci concernent la production d’ondes alpha. En poursuivant votre navigation sur ce site, vous consentez à l’utilisation de cookies. Aucune différence non plus n’a été trouvée entre les études SCP et les études Bêta/Thêta et aucun effet n’a été trouvé par rapport au 2) Temps. Neurosci Lett 2006 ; 394(3): 216-221. Dans le traitement des maladies très complexes ou lorsque des troubles ou des diagnostics multiples … Appl Psychophysiol Biofeedback 2007; 32(2): 73-78. Kaiser DA, Othmer S. Effects of neurofeedback on variables of attention in a large multi-center trial. De plus, l’étude de Monastra33 a seulement inclus des sujets avec un ratio thêta/bêta augmenté, et a ainsi potentiellement sélectionné les sujets qui pouvaient tirer le plus de bénéfices du traitement par neurofeedback. La majorité des études utilisent les zones centrales (Cz, C3, C4) comme point de suivi et une minorité ont pris en compte les zones frontales (Fz, FCz). Le test de l’hétérogénéité n’a pas été significatif (Qt = 0.26, p = 0.967. Aucune différence significative n’a été démontrée entre les études réalisée chez les sujets prenant des médicaments vs. ceux n’en prenant pas. Par exemple, une étude sur les données pré et post QEEG et PE (Potentiel Évoqué) après 20 sessions de Stimulation Magnétique Transcranienne rapide (rTMS) chez des patients souffrant de dépression ont également échouées dans la découverte de différences pré et post QEEG, mais ont découvert des changements localisés dans le PE.43 Le traitement rTMS est également basé l’hypothèse de l’asymétrie frontale, également régulièrement évoquée dans les études sur l’EEG.44,45 Curieusement, plusieurs études ont constaté une normalisation des PE comme résultat du neurofeedback7,17,31 comme visible dans le Tableau 1, suggérant que l’EEG (ou les PE) associé aux tâche devrait être étudié plus en profondeur plutôt que l’EEG passif yeux ouverts/yeux fermés. Tout d’abord pour la conception des études contrôlées de la TE entre sujets du groupe neurofeedback comparée au groupe de contrôle. Le constat initial de Lubar et Shouse1 et de Heinrich et al.7 ont stimulé un nombre considérable de recherches dans le traitement du TDAH avec le Biofeedback EEG ou le neurofeedback. Neurofeedback et fonctionnement intellectuel chez les personnes présentant un Utilisation du neurofeedback pour réduire les difficultés comportementales chez Études de l'effet placebo dans le traitement de neurofeedback chez les enfants Synthèse des effets du neurofeedback auprès des personnes présentant un TDAH. De Psycholoog 2008; 9: 470-475. Des techniques de mémorisation pour les apprentissages scolaires CE1 - CE2 - CM1 - CM2 : règles de conjugaison, grammaire, poésies, leçons, tables de multiplication. Des difficultés à mémoriser les tables de multiplication. Sterman MB, MacDonald LT, Stone RK. Cependant, des recherches plus approfondies sont nécessaires pour examiner cette question. Dans la Figure 2 la TE chez le sujet est montrée pour toutes les études incluses dans la méta-analyse. Cette m dication apporte rapidement une am lioration du contr le de lÕattention et du niveau dÕactivit , mais elle ne soigne pas le TDAH. Ceci est probablement causé par le questionnaire basé sur le DSM-­IV utilisé qui emploie seulement des réponses catégoriques (oui/non) alors que toutes les autres études utilisent des niveaux de réponse dimensionnels. Niveau 4 : efficace. Le neurofeedback est tout simplement un biofeedback par ondes cérébrales. Tout en ayant connaissance de la difficulté de réaliser une étude contrôlée à double aveugle avec un placebo pour le neurofeedback, qui peut grandement être associée à de grandes chutes des taux dans le groupe contrôle39, plusieurs groupes travaillent encore sur ce problème. Le test de l’hétérogénéité n’a pas été significatif (Qt = 2.63, p = 0.757). La moyenne générale des TE, à intervalle de confiance de 95%, le Qt (hétérogénéité de la TE) et le nombre “fail-safe” (méthode de Rosenthal : a<0.05) ont été calculés en utilisant MetaWin version 2.1.21 Le nombre “fail-safe” est le nombre d’études indiquant combien de résultats nuls non publiés sont nécessaires pour qu’un effet soit considéré non significatif. Cohen J. Pour conclure, il est souvent mentionné que les études ne constatent pas, ou ne réussissent pas à constater, les différences pré et post QEEG depuis lors que l’EEG est la base du traitement par neurofeedback (consulter par exemple Loo et Barkley13). Il existe plusieurs problèmes lors de l’interprétation de données de méta-analyse. Rien n’est ajouté au cerveau. Les participants ont eux-mêmes pris le traitement de leur choix. Dans la Figure 2 la TE chez le sujet est montrée pour toutes les études incluses dans la méta-analyse. Psychol Bull 1992; 112: 155-159. Washington, DC; 1994. Dans toutes ces études le neurofeedback, comparé à ces groupes de contrôle semi-actifs, avait encore une TE modérée à élevée pour l’inattention et l’impulsivité, et une TE faible à modérée pour l’hyperactivité. A comparison of EEG biofeedback and psychostimulants in treating attention deficit/hyperactivity disorders. Dans le suivi par Neurofeedback, plusieurs protocoles de traitement sont utilisés, comme l’amélioration du RSM associée à la suppression de thêta, l’amélioration de bêta avec la suppression de thêta, et le traitement de Potentiels Corticaux Lents (SCP). Dans le traitement du trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité, l’objectif du neurofeedback est de permettre au patient de rééduquer son cerveau afin d’y modifier les dysfonctionnements causant … Ces résultats, dans un intervalle de TE de 95% de confiance par étude. neurofeedback dans le traitement du TDAH (voir aussi: Arns, de Ridder, Strehl, Breteler et Coenen, 2009, Gevensleben, Rothenberger, Moll, & Heinrich, 2012).
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